La nuit, la chambre.
jeudi 12 juin 2008
lundi 9 juin 2008
La Statue et les mormons
C'est un pèlerinage, il parait qu'il faut aller la voir. Alors nous y sommes allé, sans prendre le ferry, nous l'avons vu de loin. Et tandis que nous étions entrain de la filmer, nous avons du nous enfuir, assaillis par une attaque de mormons, comme en témoigne le court film documentaire que vous pouvez visionner.
American Pizza
Nous avons testé les pizzas américaines dans la plus vieille pizzeria de New York le Lombardi's.... et sans nationalisme ni lien avéré pour la ligue lombarde, celles de la Tavola sont meilleures.
mercredi 21 mai 2008
Jacqueline Kennedy Onassis Reservoir
Dans la deuxième partie du parc se trouve cet immense lac artificiel et grillagé. Il porte le nom de Réservoir Jacqueline Kennedy-Onassis depuis 1994. Sa construction s'est étalée de 1858 à 1862 et il couvre une superficie de 42,9 hectares. Il atteint par endroits une profondeur de plus de douze mètres, et contient plusieurs milliards de litres d'eau. Le Reservoir est surtout connu des New-Yorkais pour la piste de jogging de 2,54 km qui l'entoure. Dans un épisode de la saison II de Sex and the City les quatre filles y font leur jogging tout en discutant de l'épineuse question de la simulation sexuelle...
A l'image des States
Le lac est à l'image de ce que j'ai pu ressentir au cours de notre découverte de New York. Une sensation d'immensité et de liberté mais qui, au deuxième regard, s'avèrent toujours contrôlées, grillagées, entravées. Une liberté factice...
vendredi 16 mai 2008
Keith Haring ???
Une fresque murale de Keith Haring à un carrefour près Astor Place dans le sud de Manhattan ???
Je n'ai pas vérifié sur place, mais au regard de l'esthétique et de l'investissement du mur, il semblerait que ce soit bien une œuvre de cet artiste.
Je vous renvoie à la belle exposition du Musée d'Art Contemporain de Lyon (que je n'ai pas encore vu...Damned) et au site consacré à l'artiste www.haring.com
mercredi 14 mai 2008
Une pause verdure
Nous avons à plusieurs reprises ponctuer notre découverte effrénée de la ville par des pauses dans Central Park.
Cette fois, c'était dans la zone où les new-yorkais se retrouvent après le travail pour s'entrainer à ce jeu incompréhensible et, semble t-il, terriblement ennuyeux qu'est le Base-Ball. Difficile alors de se détendre, comme le témoigne la photo, car j'étais terrorisée à l'idée de me prendre une balle en pleine tête....
La nuit tombe
La nuit tombe aux abords du pont de Brooklyn. Les Building s'illuminent et la ville se transforme sous nos yeux.
Sur le pont de Brooklyn...
Sur le pont, on y danse pas, mais on est nombreux a l'arpenter et à prendre des photos.
mardi 13 mai 2008
Vue d'en face
La rue de l'hôtel était peuplé de petits bâtiments en briques loin des grands building de l'UP Town. Donc pas de sensation d'étouffement et d'écrasement.
Notre Rue
Rivington street, la rue de l'ABC NO RIO.....on est passé devant mais c'était toujours fermé.....
Rivington
Notre rue...mélange de petites galeries d'art et d'immeubles squattés, loin du chic de la 5 éme avenue et tant mieux.
Je m'apelle NOLITA
Finalement, tout est bien qui fini bien car nous avons trouver un hotel avec cuisine et une grande salle de bain.
lundi 12 mai 2008
Par la fenêtre du Pennsylvania
Nous restons une nuit dans cet hotel car il est complet pour la semaine.
Il nous faut trouver quelque part où dormir avec un budget minimum.
Après un milliard de coups de fil, direction le quartier de NOLITA.
Réfugiés au Pennsylvania Hotel
Nous débarquons à NYC vers 22h. Dès l'aéroport, Impossible de joindre Lucas Bailey le propriétaire de l'appart que nous avions loué, et déja en parti payé, sur Craig List. Nous voilà dans Sullivant St, quartier de Soho, devant le n°12 de la rue sans aucun moyen de pénétrer à l'intérieur. Une jeune femme rentre dans l'immeuble et nous lui sautons littéralement dessus avec notre anglais merdique. Elle nous confirme ce que nous craignons déja : LUCAS BAILEY N'EXISTE PAS....
On explique tant bien que mal à cette résidente de l'immeuble que nous ne savons pas où aller, ni que faire, à part dormir sous le pont de Brooklyn et encore, car nous ne savons pas même où il se trouve. C'est alors que débarque une vieille nous demandant si nous cherchons Lucas Bailey. Lueur d'espoir. Nous nous disons que c'est peut-être la mère de ce putain de Lucas et qu'elle va nous ouvrir la porte. Cet espoir fut vite anéanti. Il s'agit en fait d'une vieille irlandaise qui a loué, elle aussi, le même appart que nous et qui attend devant la porte depuis la fin de l'après midi. Alex lui parle en anglais, lui faisant comprendre qu'on s'est bien fait avoir et elle s'enfuie....Un autre résident de l'immeuble descend pour nous parler. De son portable, il appelle les flics et porte plainte contre le fameux Lucas, car c'est lui qui vit au n°12 de l'appart et ça fait des semaines que chaque lundis des gens sonnent chez lui. Il nous sauve la vie en téléphonant devant nous dans la rue à une série d'hôtels pour la nuit de ce soir. Grâce à lui, nous débarquons à 11h du soir au Pennsylvania Hotel dans le quartier du Madisson Square Garden. L'hôtel est immense sur des million d'étages, les couloirs ressemblent à ceux de l'hotel de Shinning. Je fais une crise d'angoisse dans la chambre. J'adore New York.
On explique tant bien que mal à cette résidente de l'immeuble que nous ne savons pas où aller, ni que faire, à part dormir sous le pont de Brooklyn et encore, car nous ne savons pas même où il se trouve. C'est alors que débarque une vieille nous demandant si nous cherchons Lucas Bailey. Lueur d'espoir. Nous nous disons que c'est peut-être la mère de ce putain de Lucas et qu'elle va nous ouvrir la porte. Cet espoir fut vite anéanti. Il s'agit en fait d'une vieille irlandaise qui a loué, elle aussi, le même appart que nous et qui attend devant la porte depuis la fin de l'après midi. Alex lui parle en anglais, lui faisant comprendre qu'on s'est bien fait avoir et elle s'enfuie....Un autre résident de l'immeuble descend pour nous parler. De son portable, il appelle les flics et porte plainte contre le fameux Lucas, car c'est lui qui vit au n°12 de l'appart et ça fait des semaines que chaque lundis des gens sonnent chez lui. Il nous sauve la vie en téléphonant devant nous dans la rue à une série d'hôtels pour la nuit de ce soir. Grâce à lui, nous débarquons à 11h du soir au Pennsylvania Hotel dans le quartier du Madisson Square Garden. L'hôtel est immense sur des million d'étages, les couloirs ressemblent à ceux de l'hotel de Shinning. Je fais une crise d'angoisse dans la chambre. J'adore New York.
dimanche 4 mai 2008
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